EKIA, une marque faite pour sa maman !
Pour la petite histoire, je teste leurs produits depuis une semaine et je suis bluffée de la qualité et du retour à un confort que je n’avais plus depuis trois ans. J’ai un vrai coup de coeur !
Et si cela vous intéresse de les contacter avant le colloque, j’ai demandé par avance un avantage Physiobell’ pour vous et Carine Mudry la fondatrice d’Ekia vous a créé un code promo EKIA-Physiobell’ de -10% pour vos commandes. Comme quoi, il ne faut jamais se priver de demander. ;)Voici le descriptif de l’histoire de cette marque. à découvrir en avant-première…
A l’origine d’Ekia, des questions, 1 volonté de chercher des réponses, et 1 maman !
- Pourquoi la quasi-totalité des marques proposent-elles des soins uniquement en fonction de l’âge ou de types de peaux visage simplifiés ?
- Ce dont la peau a réellement besoin n’est-il pas plus important que l’âge biologique ?
- Les femmes d’un même âge n’ont pas la même peau, alors pourquoi devrait-elles utiliser le même soin ?
- Qu’est ce qui explique nos inégalités face à l’âge, juste le capital générique ou le vécu de chaque peau ?
- Pour quelle raison les femmes devraient elles faire des concessions à l’efficacité ou à la sensorialité des produits sous prétexte qu’ils sont bio ?
- Comment offrir aux femmes des soins vraiment adaptés, grâce à une expertise scientifique, en respectant au mieux leurs besoins spécifiques ?
- Y’a-t-il une place, dans ce monde de la cosmétique dirigé par l’argent, le marketing et les sur-promesses, pour une nouvelle marque qui se préoccupe avant tout de la peau de ses clientes et place ses formules et leur efficacité au cœur de son travail ?
- Et sa maman dans tout ça ?
La coupe est pleine : elle décide de créer sa propre marque. EKIA sera la 1ère marque dédiée 100% aux peaux matures, qui combinera efficacité sur les signes de l’âge et certification bio, le tout dans une démarche d’authenticité. Dire ce qu’elle fait, et faire ce qu’elle dit
Une recherche sur les peaux ménopausées inédite
Les résultats sont totalement inédits : ils prouvent que l’âge n’est en aucun cas révélateur de la maturité d’une peau: en d’autres termes, l’âge de notre peau n’est pas le même que notre âge biologique. Le capital génétique est important, mais plus nous avançons en âge, plus l’histoire de notre peau influence notre niveau de maturité :
- exposome (exposition aux facteurs externes de vieillissement comme le soleil, la pollution),
- comportement (alimentation, tabagisme, alcool, stress, sommeil),
- traitements médicamenteux,
- dysfonctionnements cellulaire (anomalie de réparation de l’adn par exemple),
- tous ces facteurs expliquent notre inégalité par rapport à l’âge.
Une très haute exigence quant à la formulation
Carine part alors en formulation avec son laboratoire partenaire et crée une gamme en fonction des résultats de cette étude : ainsi nait la gamme dont l’efficacité sera mesurée et prouvée avec l’hôpital, avant d’être lancée sur le marché français en 2009. Carine dira qu’elle n’aurait jamais pu lancer cette gamme sans être certaine de son efficacité : elle fait d’ailleurs le choix de recourir à des appareils de mesure cutanée pour prouver l’efficacité plutôt que qu’à tests d’autosatisfaction, qui donnent certes des résultats souvent plus attrayants, mais qui n’ont pas la démarche rigoriste et scientifique qu’elle attend.
Composée au départ de 3 crèmes anti-âge pour chaque type de peau mature et de 2 sérums, la mission de cette gamme certifiée bio est de proposer aux femmes après 50 ans un soin répondant aux besoins de la peau à la ménopause mais aussi vraiment adapté à leur degré de maturité.
Et maintenant ?
Consacrée à sa naissance aux peaux ménopausées, la gamme EKIA s’est agrandie depuis 10 ans pour accueillir une gamme spécifique à la prévention. Car, si EKIA sait apporter confort et efficacité aux peaux ménopausées, elle doit bien réussir à prévenir ces mêmes signes de l’âge chez les femmes un peu plus jeunes qui elles ne subissent pas encore les conséquences de la ménopause… !Je suis ravie de vous la faire découvrir et vous la retrouverez au colloque.
A très vite
Florence